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Retour sur les Journées Georges Brassens 2018

Il y avait foule dans le parc Georges Brassens le week-end dernier, 13 et 14 octobre 2018. Même le soleil était au rendez-vous pour accompagner les 31ème Journées Georges Brassens et de la Chanson Française, un événement incontournable du 15ème arrondissement parisien. Chorales et chanteurs se sont succédé pendant deux jours sous le chapiteau du kiosque à musique. Cette année, le parrain de ces Journées était Jean-Louis Walczack, qui a connu Brassens dans le restaurant ouvert par son père, Aux Sportifs Réunis.

Un hommage a été rendu à Mario Poletti, disparu cette année. Il fut le Président des Journées jusqu’en 2017.

Les festivités ont débuté vendredi soir par la remise des Prix Georges Brassens. le Prix littéraire a été décerné à David Hennebelle pour Mourir n’est pas de mise (Autrement). Le Prix Mémoire a été remis à Marion Schuster et à Jürgen Günther, fondateurs et organisateurs du Festival Brassens de Basdorf en Allemagne.

Samedi matin, c’était place à la Dictée, avec Le Robert, au Monfort Théâtre. Sur plus de 80 participants, certains sont repartis sans laisser leur copie. Une nouvelle fois, aucun participant n’a réussi le sans faute. Cela s’est joué de peu puisque le gagnant ne comptabilise qu’une seule petite erreur !

A télécharger : texte de la Dictée et les explications.

Pendant la dictée, les chorales ont achevé leur tour de chants en entonnant La Chansonnette du 15ème, adaptée de la chanson d’Yves Montand, que vous pouvez écouter dans la vidéo ci-dessus.

L’association ACE15, organisatrice de l’événement, donne déjà rendez-vous l’année prochaine pour une nouvelle édition de ces Journées Brassens.

Anne-Marie Leca

Journaliste, créatrice de Valgirardin.fr, Anne-Marie vit et travaille dans le 15ème arrondissement depuis plus de vingt ans.
Membre de la Société Historique et Archéologique du 15e.

1 commentaire

  • Merci à Annie Le Saux qui a su nous concocter une dictée de derrière les fagots. Nos réminiscences orthographiques ont été soumises à rude épreuve, pour le plus grand bonheur de la langue française.