La cérémonie s’est tenue lundi 12 octobre en petit comité, crise sanitaire oblige, à la librairie Le Divan dans le 15ème arrondissement de Paris. Le Prix littéraire Georges Brassens a été décerné à Laurent Petitmangin pour son roman « Ce qu’il faut de nuit » (La Manufacture de livres).
L’histoire de ce roman est celle d’un père qui élève seul ses deux fils. Les années passent et les enfants grandissent. Pour la librairie Le Divan, « tout est juste mais rien n’est manichéen dans l’histoire de ce père cheminot qui élève seul ses deux fils et verra l’aîné tourner le dos à toutes les valeurs qui ont construit son père. Le livre déroule le fil de ces vies beaucoup trop silencieuses et semble mener vers l’inéluctable. Une très belle et poignante émotion nous étreint à sa lecture. »
Le Prix littéraire Georges Brassens récompense un livre, paru dans l’année, dont l’esprit et le style rappellent ceux du grand Georges, comme l’ont voulu ses fondateurs : René Froment, créateur, en 1987, du Marché du Livre Ancien, Louis Nucéra, Robert Sabatier et Alphonse Boudard. Habituellement, la cérémonie de remise du Prix se tient au Dupont Café. Elle inaugure les Journées Georges Brassens, organisée par l’association ACE15, qui n’ont pas pu avoir lieu cette année en raison de la crise du Covid.
Crédit photo : Laurent Petitmangin entouré de Joël Jondeau, mécène du Prix et directeur du Dupont Café, et de Philippe Touron, directeur de la librairie Le Divan © ACE15
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